1. La durée d’une mission sur Mars par des astronautes varie entre 640 et 910 jours selon les scénarios, beaucoup plus longue qu’une mission sur la lune d’environ 12 jours. Le trajet de retour est estimé de 6 mois à 2 ans pour une mission sur Mars, alors qu’il n’est que de 3 jours pour un voyage sur la lune.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mission_habit%C3%A9e_vers_Mars
2. « [...] [pour une telle mission] un équipage de six spationautes nécessite 30 tonnes de consommables (eau, oxygène et nourriture), sans compter la quantité d’eau nécessaire à l’hygiène des spationautes (douche), au lavage des couverts (lave-vaisselle) ou des vêtements (lave-linge), ni la masse associée aux emballages et aux moyens de réfrigération. À ce jour, le lanceur le plus puissant au monde ne peut acheminer que 9 tonnes de charge utile jusqu’à la surface de la Lune. » LASSEUR Christophe, Un potager sur Mars ! in : Nutrition. Servir l’espace et la Santé.
CnesMag, n°26, 06.2005, p. 18.
3. Mars n’a pas de sol à proprement parler. La planète est recouverte de régolite, une couche de poussière très fine créée par l’impact de météorites et par l’érosion.
4. BISCHOFF, Jürgen, 2016. Mars. 916 jours aller-retour.
Géo, n° 433, janvier 2016, pp. 104-113.
5.
http://mars.nasa.gov/news/whatsnew/index.cfm?FuseAction=ShowNews&NewsID=1858
6.
https://www.nasa.gov/press-release/nasa-releases-plan-outlining-next-steps-in-the-journey-to-mars
7. L’hydroponie est une technique de production hors-sol, où les racines des plantes poussent dans un substrat inerte, irriguées par une solution nutritive.
8. À Sion, la deuxième phase du projet MELiSSA, intitulée
MELiSSA Food Characterisation Phase 2 - Food Processing Pre-engineering, a été coordonnée par Serge Pieters, diététicien et enseignant à l'Institut Paul Lambin de Bruxelles. Il a également cordonné la première phase du projet, mais sans la participation de l’Institut Technologies du vivant de Sion.
9. Pour cette raison, toutes les transformations basées sur les processus de fermentation sont exclues.
10. Dans les pays asiatiques, et notamment au Japon, l’
okara est un produit très commun.
11. Pendant les sorties extravéhiculaires, on évalue les besoins à 7000 Kcal/jour (Nutrition. Servir l’espace et la Santé
, CnesMag, n°26, 06.2005, pp. 26-39)
12.« Sur des séjours de courte durée, ils [les astronautes] ne mangent que 60% de leur ration. » L’ennui induit par les repas est une raison parmi d’autres (Nutrition. Servir l’espace et la Santé,
CnesMag, n°26, 06.2005, pp. 26-39)
[Liens consultés le 06.10.2016]
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